Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« ^ Circuit Figaro | Page d'accueil | ^ Milieu marin »

mercredi, 23 mars 2005

^ Grande Croisière

Des marins qui sont partis à la découverte du monde et/ou d'eux-mêmes à bord de leur propre voilier ... réalisant le rêve de beaucoup d'entre-nous simples terriens ou pauvres marins du dimanche.

A vos liens->commentaires ...

19:45 Publié dans Archives | Lien permanent | Commentaires (12)

Le Fil info ...

Titre et lien vers l'auteur : Lanidrac

Sur ce site internet (http://www.lamisericorde.free.fr), vous aurez tout loisir de suivre les voyages de mon ami Micmarin (Michel Tordoir) sur son bateau "La Miséricorde"... "le tour du monde le plus lentement possible".
Il navigue dans les eaux du Nord, pour l'instant.
Vous avez bien sûr maintenant beaucoup de retard et énormément de lecture dans son "livre de bord", car en fait il a commencé à l'écrire le 13 juillet 2002. Mais quel bonheur si vous avez le courage de tout lire ! Ses récits sur la vie des oiseaux et la vie des gens qui l'acceuillent dans son périple.

Bon vent et belle mer Micmarin

Publié le : jeudi, 24 mars 2005

Titre et lien vers l'auteur : Lanidrac

Navigation en Ecosse et aux Shetland.
Pour ceux qui aiment lire des vraies histoires de navigation, mon ami Micmarin vient de mettre en ligne ses dernières "news", les "News 27", qui racontent ses navs du côté de l'Ecosse et des Shetland ce printemps...

http://www.lamisericorde.free.fr/carnet.php?num_page=27

Publié le : samedi, 11 juin 2005

Titre et lien vers l'auteur : public

Des braqueurs fuient par la mer à Saint-Tropez

http://actu.dna.fr/050831104215.7vmfw1id.html

Publié le : mercredi, 31 août 2005

Titre et lien vers l'auteur : Réunion : 2 marins sauvés par un palangrier

Récupérés par un navire de pêche à la légine, deux naufragés en perdition dans les quarantièmes rugissants ont mis pied à terre, hier, au Port. Leur tour du monde s’est achevé prématurément. Dans cette aventure, ils ont perdu un voilier mais conservé l’essentiel : leur vie.

L’homme est encore sous le choc. A bord de l’Antartic 1, Bruno Billecocq n’a pas encore mis pied à terre, après trois mois en mer et un naufrage qui aurait pu lui coûter la vie. Mais il sait que le tour du monde à la voile sans escale qu’il avait entamé il y a trois mois du côté du Cotentin s’achève ce mardi 1er décembre, sur le quai n°1 du port Ouest. Sur la passerelle du palangrier qui s’est porté au secours de son voilier en perdition, le skipper du Star’s Memory raconte : “On était au 42e Sud. Ça marchait bien. Avec de grands vents d’ouest depuis trois jours, on avançait de 180 à 200 nautiques par jour, à une vitesse de 7 à 10 nœuds. Mais subitement, la température de l’eau est passée de 17° à 8°. Il y a eu des courants contraires. C’est Arnaud qui était de quart. Brusquement, alors que la vitesse du vent était descendue à 35 nœuds, on a pris sur bâbord une vague erratique, impossible à détecter en pleine nuit. J’ai été réveillé en sursaut par un déchirement métallique, suivi d’une cataracte de flotte. Le bateau s’était retourné, la quille en l’air. Il y avait 80 centimètres d’eau à l’intérieur”. Arnaud Durand, le second occupant de ce voilier de 12,5 m, poursuit : “Le mat s’était cassé et, en retombant, avait perforé le hublot du pont, ce qui a occasionné trois voies d’eau. A ce moment-là, on a vraiment cru qu’on allait mourir. Ça nous a semblé une éternité. En fait, ça a duré une minute et demie, avant que le bateau ne se retourne lentement dans sa position normale”. Dès lors, sans jamais céder à la panique, les deux naufragés font face. En 48 h, ils rendent le bateau à nouveau “vivable”, pompant pendant des heures pour évacuer l’eau, colmatant les brèches, faisant sécher matelas et couvertures imbibés d’eau de mer... Tant bien que mal, ils transforment la bome en mat de fortune auquel ils accrochent deux petites voiles.

Champagne et Chateauneuf-du-Pape

“On a décidé de faire route au nord, pour avoir plus de chance de rencontrer un bateau de passage, ajoute le skipper, un médecin qui totalise 90 000 nautiques et plusieurs transatlantiques. En 48 heures, on avait réussi à remonter 2,5 degrés vers le nord. Mais le vent a changé et nous a repoussés vers le sud”. Pour ne pas céder au découragement, les deux hommes soignent leur moral. “Le 26 novembre, c’était mon anniversaire. On a mangé un pâté de canard au poivre vert et aux olives, avec du champagne, puis du cassoulet au confit de canard arrosé d’un excellent Chateauneuf-du-Pape 2000”, détaille le skipper. La radio du bateau ne marche plus : impossible pour les naufragés d’envoyer un message de détresse. Mais en métropole, les familles des marins s’aperçoivent que quelque chose cloche. La balise du voilier, qui n’envoyait en temps normal que deux positions par jour, en émet automatiquement toutes les demi-heures après le chavirage. La route suivie par le bateau est incohérente. Alerté, le Cross (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer) actionne les secours. Un bateau de la Marine nationale est détourné de sa mission, mais c’est l’Antartic 1, un bateau réunionnais de pêche à la légine, plus proche, qui arrive le premier sur zone. Le palangrier de la société d’armement Pêche Avenir a terminé sa “marée” de 100 jours et s’apprête à rentrer à la Réunion. Le capitaine Yvonnick Lestrehan se décide rapidement. Pour ne pas être à court de carburant, il modifie tout de suite son cap de 20°, ce qui permet au navire de pêche de se porter au secours du voilier tout en ne rallongeant son trajet retour que de quatre heures (sur sept jours). Le contact entre les deux bateaux est établi en pleine nuit. Les naufragés, qui entendent l’Antartic 1 mais ne peuvent lui répondre que par de petits craquements péniblement émis par leur radio muette, lancent des fusées de détresse. Le palangrier cale sa route sur celle du voilier et les naufragés sont récupérés dans un canot. Après réflexion, le skipper a pris la douloureuse décision d’abandonner son bateau, qui n’était plus étanche, dérivant vers le sud alors qu’une forte dépression était annoncée. Juste avant de quitter définitivement son voilier, Bruno Billecocq ouvre une vanne pour qu’il coule plus vite, supprimant ainsi le risque de collision avec d’autres bâtiments. Pour Bruno Billecocq, la perte du bateau, qu’il a construit de ses propres mains, reste un terrible déchirement. Au milieu de son visage buriné, les yeux s’embuent de larmes. Pour ne pas sombrer dans la tristesse, le marin se raccroche à la bouée de l’espérance : “Je vais reconstruire un bateau, et dès demain !”

Posté par Damien Valette
Le Journal de l'Ile de La Réunion
http://www.clicanoo.com

Publié le : samedi, 24 décembre 2005

Titre et lien vers l'auteur : A bord d'un bateau, savoir nager peut sauver des vies

Dans le cas présent il faut être capable de descendre en apnée sans palme à 20 mètres de profondeur ... pas à la portée du 1ier venu quand même.


http://www.info.lnc.nc/caledonie/20060104.LNC7658.html

Publié le : mercredi, 04 janvier 2006

Titre et lien vers l'auteur : Daniel Le Meur enfin à bon port

Daniel Le Meur à bord de son voilier « Xyphos » (Ovni 43) est entré en remorque dans un port du sud de la Nouvelle-Zélande.

http://www.info.lnc.nc/caledonie/20060106.LNC7721.html

Résumé des faits :
- à bord avec sa fille il déclenche les secours avant le pire d'une tempête : ils sont tous 2 hélitreuillés
- il s'acharne à vouloir sauver son bateau et retourne à bord mais déclenche un second message de détresse : à l'arrivée des secours il change d'avis et décide de rester à bord !
- il conduit le bateau près des côtes sous foc seul et attend un remorquage.

Rappel : les frais concernant le sauvetage du bateau restent à la charge du plaisancier (comme en France d'ailleurs).

Toute l'histoire sur http://archives-lnc.sdv.fr/cgi/idxlist_audio?m1=Meur&m2=&m3=&aaaammjj=20051227&aaaammjj2=20060106&amjg=20051227-20060106&amj1=&amj2=&rubrique=&a=lst

Publié le : vendredi, 06 janvier 2006

Titre et lien vers l'auteur : Départ à la voile pour une nouvelle vie

Changer de vie et prendre la mer à bord d'un voilier, qui n'en a pas rêvé ?

C'est le choix qu'a fait La famille Ferec. Ils ont quittés la Bretagne avec leurs 3 enfants, ont acheté un voilier sur la côte d'Azur et ont mis les voiles ... pour l'instant vers l'Italie, laissant derrière eux quelques soucis à terre, mais à priori rien de condamnable et ils semblent quand même bien avoir la tête sur les épaules (vente de leurs biens -dont un élevage de moutons- , scolarisation des enfants à bord, vacins, petites traversées pour se mettre dans le bain, rester en contact avec les amis et la famille qui les ont alerté sur les remous causés ici par leur soi disant 'disparition').

http://news.tf1.fr/news/france/0,,3278137,00.html

Publié le : lundi, 16 janvier 2006

Titre et lien vers l'auteur : Guy Bernardin ne bouclera pas son tour cette année

Guy voulait faire un TDM en solo sans escale à bord du Spray sur les traces de Joshua Slocum. Après une première escale forcée dans la descente de l'Atlantique Nord, le voilà contraint à nouveau de s'arrêter dans l'Altantique Sud et le retard pris n'est plus compatible avec un passage du Horn sur 2006 ! Pas facile la vie de marin ... encore moins sur une réplique d'un bateau en bois vieux de plusieurs siècles (voir la photo : par exemple bonjour le plan anti-dérive !).

http://plongeur.nerim.net/gbsailing/semaine19.htm

Publié le : dimanche, 22 janvier 2006

Titre et lien vers l'auteur : Des nouvelles de Guy Bernardin

Guy en escale forcée sur la côte Sud-Ouest de l'Afrique (http://plongeur.nerim.net/gbsailing/wb1.jpg) ne sait toujours pas quelle suite donner à son programme. Le Spray fuit, les réparations de cette coque en bois semblent en bonne voie et Guy vient d'avoir une sacrée surprise : depuis 30 ans la quille du Spray tient par magie ... il n'y a pas de boulons de quille !!!

Guy en bon marin a une explication à ses nombreux déboires (dont le mouillage de Walvis Bay qui chasse ... faut dire que le Spray n'est pas très léger non plus) "Pas étonnant ... On a viré du Spray of St Briac une dizaine de cousins du lièvre".

http://plongeur.nerim.net/gbsailing/semaine21.htm

Publié le : mardi, 07 février 2006

Titre et lien vers l'auteur : Bruno Coupé navigue et fait la une de V&V

Il a fait la couverture du magazine Voiles et Voiliers de décembre, un article nous présente Bruno Coupé et ses dernières (mes-)aventures de skipper de grande croisière

http://www.info.lnc.nc/caledonie/20060209.LNC8786.html?0204 (attention lien auto-destructible)

Publié le : jeudi, 09 février 2006

Titre et lien vers l'auteur : Guy Bernardin au Cap

Guy est arrivé à Cap Town. Les nombreuses escales forcées l'obligent à repenser son programme de tour du monde sans escale, mais il semble prendre ces contre-temps avec philosophie.

Guy sera de retour en France pour espérons-le parler un peu de ses nouveaux projets de navigation à bord du Spray dans les médias français.

La carte de son parcours :
http://plongeur.nerim.net/gbsailing/carte-part1.jpg

Publié le : mardi, 21 mars 2006

Titre et lien vers l'auteur : Un naufrage qui se termine bien

Janusz Kowalewski, Canadien de 60 ans d'origine polonaise, vivant à New York, a largué les amarres le 22 décembre 2005 en direction des Bermudes. Après quatre jours de navigation, une énorme vague a renversé son voilier de 28 pieds. Il s'est accroché à la coque de son navire pour remonter à bord.

Le plaisancier a dérivé pendant 16 semaines avant qu'un catamaran français en provenance de la République dominicaine croise l'épave au beau milieu de l'océan Atlantique.

Janusz a frôlé la mort ... mais l'histoire se termine bien :
http://www.cyberpresse.ca/article/20060411/CPACTUALITES/604110757/

Publié le : mercredi, 12 avril 2006

 
Accueil | Trafic | A propos